Les lockoutés du Journal de Montréal demande à nouveau une reprise des négociations !

Déjà un an que les 253 lockoutés du Journal de Montréal fonctionnent sous la bannière de Rue Frontenac (www.ruefrontenac.com) et, malgré les manifestations évidentes de mauvaise foi de la part de l'employeur, rien n'y fait ! Pierre Karl Péladeau ne démord pas : il veut faire ce qu'il veut avec le journal selon une conception qui s'apparente au libéralisme d'affaire le plus primaire. Il ne répond à aucun appel à la négociation, même de celui de l'assemblée nationale. La concentration économique commande le (...)-Ronald Cameron/ Médias, Travail, Québec, syndicalisme