Le sommet de Copenhague vu du Timor Oriental

Des paysans du Sud veulent avoir leur mot à dire lors des négociations qui engageront le monde entier dans la lutte contre le réchauffement climatique, à Copenhague en décembre. C'est le cas d'Arsenio, jeune paysan du Timor Oriental, membre du réseau Via Campesina. Il craint que son pays, indépendant depuis à peine sept ans, ne subisse une nouvelle forme de « colonialisme climatique » à coup de déforestation, d'agrocarburants et de droits à polluer achetés par les (...)-Impérialisme écologique/ Écologie